Le blanchiment d'argent ("ML") est généralement considéré comme la dissimulation de l'origine de l'argent obtenu illégalement, généralement en le faisant passer par une séquence complexe de transactions financières ou commerciales. Le blanchiment d'argent comporte généralement trois étapes : (i) l'introduction des produits du crime dans le système financier (placement) ; (ii) les transactions visant à convertir ou à transférer les fonds vers d'autres lieux ou institutions financières (stratification) ; et (iii) la réintroduction des fonds dans l'économie légitime en tant qu'argent "propre" et leur investissement dans divers actifs ou entreprises commerciales (réintégration) semblant avoir été obtenus légalement. Le Groupe d'action financière (GAFI) recommande que le blanchiment d'argent soit érigé en infraction pénale par chaque pays sur la base de l'article 3, paragraphe 1, points b) et c), de la Convention de Vienne (Convention des Nations unies contre le trafic illicite de stupéfiants et de substances psychotropes, 1988) et de l'article 6, paragraphe 1, de la Convention de Palerme (Convention des Nations unies contre la criminalité transnationale organisée, 2000).
Il couvre les estimations approuvées par le Conseil d'administration pour les activités et les coûts associés dans les catégories de coûts de l'efficacité du développement, de la coordination du développement des Nations Unies, de la gestion et des objectifs spéciaux.
Le Bureau indépendant d'évaluation est une unité fonctionnellement indépendante au sein du PNUD qui soutient les fonctions de surveillance et de responsabilité du Conseil d'administration et la gestion du PNUD, du FENU et du programme VNU. L'indépendance structurelle du Bureau sous-tend et garantit sa liberté de mener des évaluations et de rendre compte des résultats des évaluations au Conseil d'administration. Le rôle principal du Bureau est de mener des évaluations indépendantes conformément aux plans et aux programmes de travail chiffrés approuvés par le Conseil d'administration.
Catégories de coûts de nature transversale qui (a) impliquent des investissements matériels, ou (b) ne représentent pas un coût lié aux activités de gestion de l'organisation.